Crona
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Date d'inscription : 13/06/2011
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 | Sujet: Re: Mes oeuvres ^o^  Lun 13 Juin - 18:39 | |
| Genèse (Travail de Français)À la naissance imprévue de ce qu’allait être la maquette de la création du monde, deux dieux naquirent. Enfer, qui voulait créer un monde emplit de mauvaises intentions, et Paradis, qui voulait créer un monde composé seulement de gentillesse. Bien évidemment, aucun des deux n’était d’accord avec l’autre. De son côté, Paradis créa Lumière, ainsi que son astre, Soleil. Enfer lui, créa Ténèbres et son astre, Lune. Lumière et Ténèbres, eux, s’entendaient à merveille, et créèrent ensemble Jour pour Lumière et Nuit pour Ténèbres. Jour et Nuit se succédaient parfaitement, mais ils décidèrent de se créer des astres, Soleil pour Jour et Lune pour Nuit.
Pendant que les jeunes dieux créaient paisiblement le monde, les deux créateurs s’énervaient. Ils ne supportaient pas l’alliance de leurs deux camps, et ainsi, les enfermèrent dans un lieu qu’ils appelèrent Mer. Mais pourtant, sans s’en rendre compte, Enfer et Paradis s’étaient alliés. Se rendant vite compte de cela, ils créèrent une barrière les séparant, ainsi que Mer. De son côté, Enfer créa Feu, un dieu impertinent et cruel, et Paradis, Glace, une déesse surexcitée qui sautillait partout. Feu, malgré toutes les histoires que son père lui avait racontées sur les créations de Paradis, était amoureux de Glace. Alors, s’en fichant pertinemment des interdictions de son père, il détruisit brutalement la barrière séparant les deux camps. Feu rejoignit Glace, qui se fichait complètement de lui. Elle, ce qu’elle voulait, c’était libérer les pauvres créations de leurs parents. Alors, Feu qui ferait tout pour sa bien aimée, détruisit Mer, ce qui ne lui déplut pas. Paradis et Enfer étaient outrés du comportement de leur enfants. Mais ceux-ci s’en fichaient. Glace voulait construire un monde, et Feu l’aurait suivit n’importe où. Alors, Glace tua Enfer, et Feu tua Paradis. Ce fut ainsi que les deux camps purent coexister.
Ensemble, ils créèrent Terre, déesse rigide qui serait la base de leur monde, puis Ciel, endroit où ils résideraient. Mer submergea une partie de Terre, pour sombrer dans un profond sommeil ensuite. Terre fit de même, elle n’avait plus rien à faire, pour le moment. Lumière et Jour s’assemblèrent, ainsi que Ténèbres et Nuit, pour s’installer sur Terre et Mer. Vint enfin Soleil, qui se logea dans Jour, et Lune dans Nuit. Le monde se créait petit à petit, de l’amour de Feu et de la motivation de Glace.
Petit Lapin (Écrit sur le rythme d'une musique)Un petit lapin sautait paisiblement dans la forêt. Il était parti à la recherche de nourriture. Quand il remarqua un chat. Pris de panique, il commença à sauter en arrière, faisant le moins de bruits possible. Mais, il sauta sur une branche qui se cassa. Le chat remarqua alors la présence du lapin. Il avança un peu, en direction du lapin, le lapin fit le contraire. Cela continua un peu…puis le chat se mit à courir. Le lapin parti, ne voulant pas se faire manger. Ils couraient, couraient. Le lapin arriva à une pente qu’il dévala en quatrième vitesse. Le chat fit de même. Ils descendaient toujours, toujours.. De plus en plus vite, ne voulant pas se faire rattraper, le lapin sauta vers le bas de la pente. Ils arrivèrent tout deux en bas, et le chat manqua d’attraper la queue du lapin. Le lapin, pris d’une vague de panique accéléra, passant les buissons, les faussés… Le chat ne perdait pas sa vitesse, mais la distance entre eux grandi…Ils allaient, toujours plus vite, en direction de la ville. Tout deux quittèrent la forêt et entrèrent dans l’immensité qu’est la ville…Les bruits des pas résonnaient, puis des cris, voyant les deux animaux se poursuivant. Ils coururent toujours, traversant la ville en un éclair. Ils en sortirent ensuite, pour se lancer dans les collines. Le lapin eu du mal à grimper en haut de la colline et le chat heureux en profita pour l’attraper…Mais pas assez pour le manger. Le chat arracha la queue du lapin, et ce dernier poussa un cri aigu. Mais le lapin ne s’arrêta pas, bien décidé à rester en vie. Il laissa une trainée de sang derrière, qui bientôt, s’estompa petit à petit. Il ne laissa plus que quelques gouttes de sang tomber sur le chemin passé de la poursuite. Le chat s’étant débarrassé de la queue touffue couru dans le sang du lapin, imprégnant ses pattes de cette horrible odeur. Ils arrivèrent finalement au sommet de la colline, puis font le chemin inverse..Ils dévalèrent de nouveau une pente, mais celle d’une colline.
-Cours petit lapin, cours ! disait une petite voit dans la tête du lapin.
-Attrape-le ! Mange-le ! disait une autre petite voix dans la tête du chat.
Suivant tout les deux les paroles de leur petite voix, ils continuèrent leur poursuite. Mais le lapin avait du mal, et perdit l’équilibre, se mettant à rouler jusqu’en bas….Le chat accéléra et attrapa le lapin… Le lapin, se mit à pleurer. De belles larmes chaudes coulèrent sur le chat. Le lapin se rendit, prêt à se laisser manger. Le chat sourit, satisfais. Le lapin vit sa vie défiler. Ses petites promenades, sa rencontre avec une belle lapine, le mignons petits lapereaux qu’il avait eu..Puis, sa grande poursuite avec un chat. Il se dit que c’était injuste, de se faire manger ainsi, sans avoir rien fait. Il voulu discuter avec le chat, lui dire de manger plutôt des souris, et pas des lapins. Mais celui-ci n’écouta pas. IL était trop occupé à réfléchir comment il allait bien pouvoir savourer la viande du lapin qu’il venait d’attraper. Le lapin remarqua alors une troupe d’autres petits lapins, comme lui. Profitant des rêvasseries du chat, il appela à l’aide. Les lapins accoururent, puis, reculèrent un peu voyant le chat. Mais, prenant leur courage à deux mains, ou plutôt deux pattes pour sauver leur ami, ils bondirent sur le chat. Le chat les repoussa d’une seule patte, se disant qu’il aurait encore plus à manger. Tenant le premier lapin dans sa gueule, il plaqua les autres lapins avec ses pattes. Tous les petits lapins se dirent que s’était fini. Et ils se firent manger.. La cité perdue et la bibliothèque du mensonge (Travail de Français)
Ah, mais je ne me suis pas décrite physiquement. Je suis plutôt grande pour mon âge, et mes cheveux sont très longs, ils atteignent mes hanches. Ils sont toujours attachés en une grande tresse, par un ruban blanc. Mes yeux sont bleus foncés, et je porte très souvent une longue robe à manches courtes, entièrement violette foncée et noire, ce qui donne un aperçu de moi très sombre.
Bon, je pense que cette description est assez longue, mais je n’ai pas parlé de mon caractère. Je suis, de nature, très gentille. Mais je ne suis pas patiente, et lorsque je m’énerve, je fais mal. Je vois et entend très bien, et j’ai des bons réflexes. Car je pratique le kendo et j’ai toujours un sabre aiguisé sur moi. Place à l’aventure à présent. « Akiko, sache que je suis désolée de faire ça, de t’abandonner. Je pars à la recherche d’une cité perdue. D’après ce que je sais, elle se trouve sous Paris. Personne ne l’a jamais trouvée. Mais moi, je compte bien y parvenir car dans cette cité, il y a une gigantesque bibliothèque, fierté de ce lieu. Et dans cette dernière demeure un livre. Un livre dans une langue que personne n’a réussi à traduire. Je reviendrais peut-être un jour.
Furude Sakiko. » -Oh...Je vois. Elle m’abandonne. C’est tout ? Et bien, elle va voir.
À vrai dire, je suis plus énervée que triste. J’ai bien l’intention de lui faire payer. Payer son insolence. Je...la déteste. Elle n’a jamais fait attention à moi. Et mon père...mort depuis longtemps.
-Maman, je vais te rejoindre. Et te faire payer.
Voilà comment commence mon aventure.
Comme je vous l’avais dit, je me suis rendu à Paris. C’est la première fois que je vais dans la capitale. C’est immense ! Je me suis perdue plus d’une fois sans doute. Mais...C’est bien joli tout ça, mais comme allais-je trouver l’entrée de la cité ? Et puis j’ai vraiment mal aux pieds...Je décide de faire une petite pause dans un bar. Je n’aurais pas dû! Ça empeste la cigarette et l’alcool! On pourrait croire à un incendie tellement il y a de fumée. Je m’installe à la table la plus éloignée de tout ça. Un serveur vint ensuite pour prendre ma commande.
-Du thé et des gâteaux, s’il-vous-plaît.
-Bien, mademoiselle.
Et le serveur s’éloigne, retournant dans l’épais nuage de fumée grise qui emplissait le bar.
-Qu’est-ce que tu fais là, jeune fille ?
Un vieil homme aux cheveux blanc en bataille vient de m’accoster. Il empeste l’alcool, et bien qu’il n’ait pas l’air de fumer, il est aussi imprégné par l’odeur de fumée.
-Et bien..Je cherche...quelque chose. La...cité perdue.
-...Hahahaha ! Tu n’as pas la première venue, jeune fille. Beaucoup d’autres sont venus avant toi. Mais tu es de loin la plus jeune. D’ailleurs, une femme plutôt jeune et venue il n’y a pas longtemps. Elle te ressemble beaucoup.
..Ma mère sans doute. C’est sûrement de ma mère dont il parle. On se ressemble beaucoup, mêmes yeux, mêmes visages. Elle a les mêmes cheveux, mais plus courts. Mais ignorant sa dernière phrase, je lui pose la question cruciale.
-Et...Vous savez où se trouve l’entrée...?
-Bien sûr ! Tu veux savoir où elle se trouve ?
-...!
-Et bien, cherche dans le parc central. Là, tu trouveras une indication amplement suffisante pour te mener jusqu’à l’entrée.
Et là, le serveur revient avec le thé et les gâteaux. Je bois rapidement mon thé, prends les gâteaux, et me lève précipitamment. Tout en sortant très rapidement du bar, j’articule un « merci ». Je cours dans la rue, bousculant les passants sans y faire attention. Maintenant que je sais comment trouver l’entrée, pourquoi attendre? En sprintant, je me rends donc au parc en question. Il commence à faire nuit, ce qui m’arrange. Car il n’y a plus personne dans le parc. Je peux donc fouiller en paix et trouve rapidement l’indice en question. Sauf que...c’est du japonais. Une série d’idéogrammes se trouvent sur la plaquette : 移動。都市を超えて、巨大な木です。この木のふもとに一度には、謎の鍵を見つけるでしょう。
Je mets un certain temps pour traduire le texte. Finalement, ça donne :
Va. Au-delà de la ville, se trouve un arbre géant. Une fois au pied de cet arbre, tu trouveras la clé de l'énigme.
Je pars donc en-dehors de la ville. Il y a une vaste étendue de verdure, et, surplombant ce lieu, un arbre qui mesure au moins cinq mètres de haut. Je n’ai jamais vu un arbre aussi grand. Je me place juste au pied du monument, cherchant « la clé » dont parlait le texte. Je ne mets pas beaucoup de temps à comprendre. Le sol tremble, et je tombe. Sans comprendre où d’ailleurs. Quand je suis à terre, je contemple le spectacle qui s’offre à moi.
-C’est...Magnifique !
ここではライブラリがある。
Qui veut dire...
Ici, la bibliothèque du mensonge.
Donc...je suis dans la bibliothèque dont parlait ma mère? Et bien..En fait, je suis plus excitée à l’idée d’explorer la bibliothèque plutôt que de retrouver ma mère. Je cours dans la salle, mais...très vite, je ne peux plus.
-C’est...une blague j’espère? Adieu monde crue...AHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!
Comment dire...Il n’y a plus de sol...Je suis en train de tomber. En fait, quand j’atterris, je comprends comment est faite la bibliothèque. C’est un peu comme un escalier. Il y avait la première marche, celle du haut, là ou je suis arrivée. Et là, la deuxième marche, remplit d’étagères pleines de livre. Combien y a-t-il d’étages ? Surtout que, si je veux trouver le livre, il faut que je fouille toutes les étagères...Mais, je trouve encore une inscription.
夢と死の本は、誰が知っていますか？いずれの場合では、ライブラリの最終的なレベルで見つけるつもりだ... ...
Ce qui donne...
La livre des rêves ou de la mort, qui sait? En tout cas, tu le trouveras au dernier échelon de cette bibliothèque...
Bien ! Donc, je dois descendre tout les étages. Mais je risque de ne plus être en un seul morceau à la fin...J’avance un peu, pour être au bord du niveau. Et là, un gros bruit se fait entendre. Je me retourne, et là, encore la crise cardiaque. Un...Livre géant ? Il a l’air inoffensif comme ça, juste un peu grand. Mais en fait...lorsqu’il s’ouvre, on peut voir de gigantesques dents, capables de me manger en un instant.
-Mon sabre...Ne servira à rien contre se monstre...NON !!!!!!!!!!!!!!!
Alors que je me prépare à sauter, je distingue en plus petit, une autre inscription.
ああ、生きて滞在してみてください。
[font color=blue]-Je...rêve ?...Non mais ils se fichent de moi ?!!!![/font]
L’inscription veut dire :
Ah et, tâche de rester en vie.
Sans attendre de me faire dévorer, je saute dans le vide. Et une fois de plus, l’atterrissage est douloureux. Je regarde vers le haut, et à mon plus grand bonheur, voit que le monstre ne saute pas. Bon...je m’approche vers le bord de l’étage, et saute encore. Encore, encore...au bout de 10 étages, j’ai au moins 20 bleus, et pas des petits. Et en plus, chacun contient un monstre, toujours un livre, mais de couleur différente. Je vois qu’il n’y a plus d’étages. Tant mieux. Hein ? Je manque de glisser. Lorsque je regarde sur quoi, je vois un liquide rouge. Rouge comme..le sang. Je suis la coulée de sang jusqu’entre deux étagères. Et là..ma mère. Poignardée par une flèche. Aïe. Je...veux lui faire payer, oui. Mais pas la tuer. Juste lui faire comprendre qu’elle ne doit plus m’ignorer. Et pourtant..elle est morte. Tuée par qui? Et...pourquoi je ne suis pas triste ? Pourquoi je ne pleure pas ? Je pas ? Je ne sens aucune larme venir. Je remarque un livre. Un livre que tient le corps sans vie de ma mère. Je le prends, et m’éloigne vite du corps. Ce livre est aussi en japonais. Voici le plus important :
この本を読んで、死亡している。若い女性は、あなたの人生はここで終わることを知って、以前の死亡女性の娘。必要に応じこの本は、死の本です。誰も夢。それはあなたが、あなたの夢を達成するかを幸せにするためには何もしません。それはあなたが死んでいくのに役立ちます。この本は、サタンの手によって作成された、地獄からまっすぐに来る。少女は、死ぬ死ぬ。悪魔の本を汚すあえてあなたの母として死ぬ。
Qui veut dire ;
Lis ce livre, et meurs. Jeune demoiselle, fille de la femme décédée précédemment, sache que ta vie s'arrête ici. Ce livre que tu tiens est, le livre de la mort. Pas celui des rêves. Il ne t'aidera en rien à réaliser tes rêves, ni à te rendre heureuse. Il t'aidera juste à mourir. Ce livre vient tout droit des enfers, créé par les mains de Satan. Meurt jeune fille, meurt. Meurt comme ta mère, qui a osée souiller le livre du Démon.
Livre de la mort ? Mon œil ! Jetant le livre, je pars voir une petite tablette. Je suis vraiment déçue. Je ne pensais pas que ça parlerais de ça. C’est vraiment idiot. Cette bibliothèque porte bien son nom ! « La bibliothèque du mensonge »...Je lis ce que dis la tablette. Visiblement, ce sont d’autres personnes comme moi qui ont marquées cela. C’est en français. À côté, il y a un burin. Je le prends en main ainsi que le marteau qu’il y a à l’opposé, et j’écris mon propre avis.
« C’est idiot! Un livre des Enfers! Quelle idée d’écrire un livre pareil! »
Mais, je vois alors l’homme du bar. Armé d’une arbalète.
-Tu n’aurais pas dû venir....Le livre dit la vérité, tu sais.
Avant que je n’arrive à dire quoi que ce soit, une flèche vient me transpercer le ventre. Je veux pousser un cri. Je veux qu’on m’aide. Mais rien. C’est impossible. En tombant à terre, je vois une chose qui me fait perdre tout espoir. Un cimetière. Comptant beaucoup de pierres tombales. J’agonise sur le sol, pendant que mon sang s’écoule, se mêlant à celui de ma mère. Mère, fille, elles sont mortes. Mon corps sans vie baigne à présent dans le sang qui souille le sol.
Mon père est mort. Ma mère est morte. Je suis morte. Tous les Furude sont morts. Et, j’ai compris une chose. Lorsque j’ai écrit sur la tablette, il y avait des noms. Celui de ma mère, et celui de mon père. À ce moment là, j’ai donc compris que mon père était mort comme moi et ma mère. Maintenant, nous sommes tous trois en Enfer. Car nous avons lu le livre maudit. C’est injuste. Mais c’est trop tard. J’aurai néanmoins aimé mettre un panneau, quelque chose pour avertir les gens qui feront la même bêtise que moi. Mais je ne peux plus rien faire. Maintenant, je pense différemment. J’aurai dû..ignorer mon monde. Si je ne me souciai de personne, je n’aurai pas voulu retrouver ma mère pour qu’elle s’excuse. Je ne me serai pas retrouvé dans cette cité, cette bibliothèque. Je ne serai pas morte. Je vivrai. Mais ne faîtes pas comme moi. Ne pensez pas comme moi. Suivez le destin. Tant pis s’il vous mène à la mort. C’est mieux que de vivre une longue vie sans intérêt.
Dernière édition par Crona le Dim 19 Juin - 18:16, édité 1 fois | |
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